enteteAccueilespace S'inscrire à la lettre de l'Epco espaceEnseignementsespace Documentsespace L'E.p.c-oespace L'A.L.I espacePublicationsespace Liens Diversespace Espace Membres
Octobre
ligne



Animé par Alain Harly



Argument

Nous allons donc poursuivre pour cette année la thématique de la jouissance dans ses aléas cliniques. Je propose de mettre à l’ épreuve cette notion introduite par Lacan dans son enseignement en l’articulant si possible aux trois grandes structures psychopathologiques extraites de la pratique analytique par Freud : Névrose, psychose et perversion. Il se posera alors la question de savoir en quoi cette notion de la jouissance viendrait en renouveler l’ approche.
Si nous suivons Lacan, il ne s’agit pas seulement d’enrichir l’édifice conceptuel freudien mais de mettre cette dimension de la jouissance au centre même de la construction. En effet son invention de l’ objet petit a comme « plus de jouir » est le point d’appui de toute sa spéculation, objet qu’il a pu définir de différente façon mais je retiendrai ici celle d’être « le noyau élaborable de la jouissance. »
Cette élaboration l’a conduit pour sa part à diversifier la jouissance en diverses modalités présentées comme Jouissance phallique, jouissance Autre et jouissance du sens situable dans sa conception trine du sujet , soit comme nouage entre Réel, Symbolique et Imaginaire.
Dans quelle mesure ces propositions nous aident-elle à une lecture de la clinique ? Sont-elles datées ou insuffisantes pour nous éclairer en particulier quant à sa présentation contemporaine ?
En tout cas , il importe de rappeler que nos constructions théoriques ne sont que des échafaudages comme le disait Freud et qu’il importe de ne pas les prendre pour le bâtiment lui-même. Cependant elles nous donnent en tant que discours de quoi élaborer, soit de formuler avec rigueur des hypothèses propres à cerner le réel de la clinique qui de toute façon reste notre boussole.

A.H.
***
J’ai invité plusieurs collègues à intervenir au cours de l’ année, chacun(e) y développant un aspect de cette problématique selon son style.
Le programme (provisoire ) est le suivant :
Mercredi 20 novembre 2024 : Alain Harly : La jouissance du doute.
Mercredi 18 décembre 2024 : Alain Harly : La jouissance de la plainte
Mercredi 15 janvier 2025 : Alain Harly : le noyau élaborable de la jouissance
Mercredi 19 février 2025 : Jean-Jacques Lepitre : A propos de la perversion. (Titre à confirmer)
Mercredi 19 mars 2025 : Jean-Luc de Saint-Just : De la lettre à son nouage, de Sergueï Pankejeff à l’homme aux loups : être sujet à la jouissance »
Mercredi 16 avril 2025 : Georges Schmitt : Eléments cliniques.
Mercredi 21 mai 2025 : Cécile Imbert : La jouissance du corps troué. ( Titre à confirmer )
Samedi 28 juin 2025 : Alain Harly et autres : Ponctuation.
***
Ce séminaire est ouvert aux membres et auditeurs de l’ EPCO et de l’ ALI.
Il se tient essentiellement par vidéo-conférence .
Il faut demander à recevoir le lien Zoom pour une séance ou bien s’inscrire pour l’ année à l’ adresse suivante : epco2@wanadoo.fr
***

ligne

Sandrine Calmettes


ligne

Alain Harly


ligne



La question de la responsabilité pénale se trouve souvent corrélée à celle de la dangerosité et du risque de récidive. Celle de la responsabilité du sujet, plus spécifiquement psychanalytique touche à celle de la vérité de chacun. Je travaillerai à partir de cas cliniques nous permettant d'apprécier la complexité de ces questions. Lire la suite


ligne

Jean Luc de Saint Just
Enregistrement audio de la conférence de Jean-Luc de Saint-Just:

"Quand peut-on parler de progrès?"


ligne

ligne


Anne JoosAnne Joos de ter Beerst est psychanalyste en Belgique, membre de l’ Association Lacanienne Internationale et de l’ Association freudienne de Belgique dont elle a été présidente. Infirmière, sage-femme, licencié en psychopédagogie, elle a assuré à Charleroi une consultation pour les demandes de PMA dans un Centre médical spécialisé. Elle a publié La clinique du quotidien. Enjeux de la rencontre dans le travail social (avec Jean-Pierre Lebrun), Erés, 2020 ; PMA et familles contemporaines, Erès, 2022.

Transcription de la conférence du 4 Mars 2023 à Poitiers:
Avoir un enfant, devenir parents aujourd’hui


ligne

Une logique de la servitude
Alain Harly

JW-livre Argument : « L’esclavage d’hier et d’aujourd’hui : une logique de la servitude »
La puissante réflexion de notre amie Jeanne Wiltord m’a conduit à interroger à partir du discours analytique l’évolution des modalités de l’esclavage à travers les époques historiques.
Si nous n’avons de l’esclave de l’ antiquité qu’une notion vague à partir des textes de la littérature , il a été possible avec Jacques Lacan de le situer dans un lien social qui pouvait se formaliser dans ce qu’il a appelé le Discours du Maitre.
Toute autre est la situation de l’aliénation esclavagiste de la période colonial, ce que ce livre nous présente avec ampleur et pertinence. Charles Melman en a proposé de son coté une écriture qui pourrait permettre d’articuler cette particularité , et aussi les effets d’après-coup toujours d’actualité, dans notre culture.
Quant à l’ aliénation produite par le capitalisme, bien qu’il nous soit contemporain et qu’il nous concerne tous, nous avons la plus grande difficulté à en saisir la logique, enfermés que nous sommes dans cette servitude. espace Lire le texte intégral

ligne

Le calendrier


ligne


***

Dans les Documents

-Les aléas
de la jouissance

Dernières transcriptions



Dans l'espace membre:

- Dernières Vidéos

- Les aléas de la jouissance

L'Envers 2ème Journée





ligne
Conférence de Véronique Ballu Vernet
Vieillir. Parlons-en!
V Ballu Vernet
Transcription de la conférence

ligne
Conférence de Nazir Hamad
Immigration et adoption

Pour écouter la conférence:
hamad

ligne
Conférence de Thierry Roth
13 Avril 2022 Centre H Laborit
Les affranchis: Addictions
Et cilinique contemporaine

conférence


ligne

Ah…Vieillir!

Le groupe de travail a repris ses activités et ses élaborations. On peut contacter Alain Harly

ligne

Pierre

Tu avais la chaleur épaisse des arbres.

De ceux qui savent la permanence des bontés et de la légèreté du vent…

Tu t’habillais de la rudesse des paysans, afin que ton dire se leste du poids de la rocaille que charriait leur voix de bon sens généreux d’humanité, perforant la bêtise commune.

Ton regard se perçait de l’éclair, celui de l’humour aussi bien que celui de l’aphorisme pertinent. Combien tu nous fis rire, ainsi que penser. En même temps qu’un voile de pudeur traversait à l’arrière de tes yeux.

Tu n’as pas attendu que je te lise les ceux qui de notre jeunesse ouvraient nos poumons afin que nous respirions un air moins délétère, que nous chantions, fredonnions l’espoir d’une connerie qui s’amenuise.

Tu es parti.