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Ce que coûte un vieux

Frédérique GOBIN1


Quand j’ai débuté dans le service de géronto-psychiatrie de l’hôpital psychiatrique, j’ai pu intégrer en parallèle l’association des psychologues en gérontologie du Poitou Charentes. Cette association qui regroupe des pairs pratiquant auprès de personnes âgées proposait, entre autres, des temps d’échanges cliniques et théoriques spécifiques à cette pratique. Dans un de ces groupes, nous avons pu, lors de rencontres mensuelles, aborder des situations cliniques et au fil des années, nous avons souhaités travailler en choisissant un thème qui serait le fil rouge des échanges. C’est donc le travail d’une année que je me propose de retranscrire ici. Il s’agit d’échanges et de réflexions partagés, de tentatives de mise en lien. Vous remarquerez donc l’aspect certainement un peu fouillis de cette présentation et le manque de méthodologie groupale.

En 2015, j’ai commencé à intervenir dans un service de « géronto-psychiatrie » maintenant intitulé, « psychiatrie de la personne âgée » qui accueille des personnes de plus de 75 ans présentant des troubles psychiatriques, que ce soit des pathologies anciennes sur des patients vieillissants ou des manifestations récentes de souffrances.

Dès le début de ma prise de poste, j’ai été interpellée par la prévalence des références à la sphère économique. Tout d’abord j’ai été marquée par l’importance de la situation financière dans la préparation des projets. L’aspect économique intervient très rapidement dans la réflexion sur le projet et sa faisabilité, de manière qui m’apparaissait plus prégnante que cela m’avait été donné à voir pour l’accompagnement de patients plus jeunes en service de psychiatrie. Il fallait « faire le point » sur la situation économique, les comptes, les économies, la propriété de maison, le nombre d’enfants, leur solvabilité, les aides déjà en cours, le type de mutuelles, d’assurances... Le financement de la vie allait être un facteur de choix dans le projet de soin et de vie.

Mais j’ai également été interpellée sur le plan clinique. Dans les motifs d’hospitalisation et dans les rencontres avec les personnes hospitalisées, le thème de l’argent apparaissait plus fréquemment. On observe des symptômes comme l’anxiété majeure quant au financement de l’avenir qui s’accentue du fait de l’hospitalisation car celle-ci est souvent perçue comme une rupture dans un quotidien qui ne reviendra pas, comme une culpabilité forte d’être une charge pour son entourage. Mais on voit également s'exprimer des idées délirantes de ruine ou de spoliation portant sur les maisons et sur les « comptes ». Dans l’unité de psychiatrie de la personne âgée, nous prenons place à un moment de crise, de rupture, où les enjeux sont aigus, mais en échangeant avec des collègues travaillant en EHPAD, même si souvent alors la réflexion économique sur l’accueil en EHPAD est déjà entamée ou réglée, la référence à l’aspect financier, à l’aspect charge économique est également présent dans le discours des personnes.

Dans le groupe d’échange et de travail que je vous ai présenté, nous avons donc eu envie de nous pencher sur cette remarque et de voir quelles questions cela nous posaient. Et la formule qui a émergé, sous une forme un peu provocante, mi interrogative, mi-exclamative fut « qu’est-ce que coûte un vieux ?! ».
Nous n’avions pas réellement d’hypothèses de travail mais plutôt une envie d’explorer différentes réflexions que nous avions à disposition dans notre clinique. Ainsi, à travers les différents échanges que nous avons eu autour de ce « coût de vieux », nous avons abordé l’aspect sociologique de la représentation de la personne âgée, puis les effets dans la famille, et enfin chez la personne âgée.

• La représentation du vieillir dans la société

Il y a peu de représentations médiatiques de la personne âgée (comme beaucoup de minorité).
Qu’est ce qu’il y a comme vieux à l’écran? Line Renaud, Dumbeldore ou le couple de scènes de ménage... Indépendants, autonomes, sans problème financier. L'âge ne se verrait presque pas parce que « l'âge c'est dans la tête ».
Il n'y a peu de représentations de l'âgé qui n'aurait pas respecté l'injonction du « bien vieillir ».
Ainsi on a une représentation de ce qu'est un grand-parent, davantage super-mamie que mamie Nova, mais il existe peu de représentation partageable de ce qu'est un « arrière grand-parent ». De ce que cela supporte comme fonction, comme place dans la famille. Qu'est ce qu'un « âgé » dans la famille dès lors qu'il n'est plus si fringuant et qu'il approche des 80 ans ?
Sans aller bien loin, on peut repérer que la représentation sociale de l’âgé renvoie davantage à l’idée d’un coût économique que d’une ressource ou une richesse. Un vieux coûte cher à la sécu et à la société. Cet aspect coûteux nous semblait davantage s'exprimer à haute voix que pour d’autres types de populations qui pourtant pourrait être porteur d’autant de représentation de dépendance comme l'enfant par exemple, qui est quand même grandement immature et impotent. Le coût supporté ne porterait donc pas sur la même chose ?
Nous pouvons nous interroger sur les effets, premièrement d’une logique moderne où c'est la vitesse du flux, la vitesse de traitement au quart de millième de seconde qui produit de la richesse et non plus la capitalisation de matériels, de savoirs.
L'âgé n'est donc plus riche de son savoir, de ses expériences, qu'à l'heure de Google tout le monde a l'impression de pouvoir avoir, mais incapable de traiter prestement le déferlement de données. L'âgé ralentit donc, il n'a pas la côte, ce n'est pas un investissement d'avenir, contrairement aux enfants. Le coût paraît donc plus élevé.
Parallèlement on entend parler de la « silver economie », mais où la personne âgée est objet cible mais n’est pas porteur de valeur investissable narcissiquement. Quand voit-on des personnes âgées dans les publicités ? Que cherche t-on à vendre à ce nouveau « segment marketing » : protection contre les fuites urinaires, monte escalier, appareils auditifs, ce qui permet de maintenir son statut/autonomie/image narcissique. Alors que pour les croisières ce sont toujours de belles jeunes femmes qui sont au premier plan et que les voitures sont conduites par de fringants trentenaires.

Vieillir dans la représentation sociale, c’est donc perdre un statut social, perdre de la valeur productive et presque perdre un statut de sujet. Le discours de l’autre tendrait à faire disparaître, la possibilité d’un discours de l’âgé qui soit possiblement celui d’un sujet.
Donc on reste jeune ou l’on devient un objet mais « vieux » n’offre que peu de représentations investissables narcissiquement. Ce qui fait dire à beaucoup de soignants, l’air de rien que « il ne faudrait pas vieillir. »

Et on peut supposer qu’il faut mobiliser beaucoup de ressources psychiques pour lutter contre l’effet de ses représentations. D’autant que l’on sait l’effet golem (inverse de l’effet pygmalion) de ce type de représentation. Vieillir ne ferait que coûter.

• Qu'en est-il alors au sein de la famille ?

Vieillir est un phénomène naturel, de l’usage du temps sur le corps et sur la vie. Or on sait que l’inconscient n’a pas de temps. L’attaque du corps n’est pas perçue comme un processus linéaire et logique mais comme une attaque, une destructivité qui apparaît aux sujets par à coup, parfois par traumatisme (chute, accident, maladie).
Le vieillir est donc souvent perçu comme une défaite, là où l’illusion névrotique nous fait penser « on sait bien qu’on va vieillir...mais quand même ».

Cette désillusion est également en œuvre sur le plan familial, dans les liens filiaux. Au début, c'est l'enfant qui grandit, pas le parent qui vieillit.
Comme l’inconscient, les imagos parentaux ne sont pas soumis à la temporalité. L’écart entre les images parentales intériorisées et celles du parent réel pourraient donc être la source d’une conflictualité psychique (et donc d’un coût économique – libidinal).
Le parent, « son » parent vieillit et peut ne plus être la figure (protectrice) structurante antérieure et réactiver alors des mouvements défensifs contre la révélation que cet autre est aussi manquant, faillible, n'est pas garant de tout.
Cette régression imaginaire pourrait être à l’origine d’une réactivation œdipienne où l’impuissance fonctionnelle de l’enfant (qui le faisait céder/esquiver devant la puissance paternelle) n’est plus présente. Si cela n'a pas pu être élaboré auparavant, l’enfant, devenu grand, pourrait alors vivre sa toute puissance (comme on peut le voir dans les institutions où les enfants peuvent avoir des velléités de contrôle des activités du parents, de maîtrise de leur vie affective).

Ainsi selon l'histoire infantile des enfants et le déroulement de leur conflit œdipien, le regard sur l’adulte âgé, leur parent, va être différent. Le « coût de vieux » est aussi celui d'une réactivation, d'une réinterprétation du conflit œdipien pour les membres de la famille qui peut alors être porté, supporté par le rapport à l'argent.
La relation filiale parent/enfant se trouve ainsi bousculé. C'est le parent qui donne à l'enfant. Et celui-ci va peut-être se retrouver en état d'avoir besoin, et peut être de demander. Il y avait antérieurement un sens d'échange qui se trouve inversé.
L'argent prend alors cette place dans la symbolique de l’échange.
Ce remaniement de la dynamique d'échanges va reprendre des aspects économiques de la relation passée au parent et va canaliser les tensions entre agressivité et réparation.
Au sein de la famille, accompagner son parent vieillissant est coûteux psychiquement, ce qui va souvent être porté, représenté par le rapport à l’argent et les frais que la mise en institution (ou le seul besoin d’aide au quotidien) peut générer.
L'argent intervient comme un règlement de comptes : est-ce possible de payer ? Qui va payer ? Va-t-on vendre la maison familiale ? D'autant qu'il est socialement considéré comme « automatique » que la famille soit un « aidant naturel » et que les enjeux relationnels, psychiques soient peu exprimables à ce moment.
Entrent en jeu les relations et places dans la fratrie, la relation de l'âgé avec les différents membres de la famille... Négociations parfois impossibles entre une réalité matérielle (le coût effectif des EHPAD) et des réalités psychiques.
Les exemples cliniques sont nombreux des aménagements familiaux qui montre bien qu'il ne s'agit pas (que) de logique économique : celui qui donne du temps, celui qui donne de l'argent, celui qui donne « trop »...
Mme J qui veut aller en institution mais dont la fille trouve que c'est trop coûteux et la garde à domicile au prix de nombreux conflits et de réactivation de vécu persécutif pour Mme J, certes délirant, mais qui indique le coût à payer est celui d'une séparation difficile, très/trop coûteuse ; Mme No veut rentrer chez elle, mais que la fille veut envoyer en institution parce qu'elle pourrait tomber alors que cela n'est jamais arrivé, la famille est d'accord de payer une protection imaginaire contre certaines projections inquiétantes... ce qui paraît « logique ne l'est peut-être pas tant que ça»

Au-delà de ces repérages que nous avons pu partager, nous avons soulevé différents questionnements, certainement fantasmatiques, à propos des échanges dons/dettes devant lesquels nous nous sommes arrêtés sans aller plus loin, peut-être que la charge mortifère y était trop prégnante ?:
Enfants, nous arrivons sur Terre en dette de l'Autre, dette de vie, dette de sens. Ce sont nos aînés qui nous l'ont transmis, mais qu'il faut une dose d'ingratitude pour continuer à avancer :
Que ce passe-t-il quand les enfants donnent aux parents ?
Rembourse-t-on une dette ? L'épurons-nous ? Serions-nous alors sans dette ?
Prenons-nous sur le « capital » que nous devons à nos descendants ? Va-t-on être « à sec » ?

Se confronter au vieillissement de l'autre est effectivement psychiquement coûteux,
– cela attaque nos illusions névrotiques d'immortalité
– cela remet en jeu notre économie œdipienne
– cela interroge notre rapport à la dette à l'autre...

Et en plus c'est un chemin que nous ne connaissons pas, qui reste à venir. Ce chemin c'est celui qu'emprunte ceux qui sont vieux et qui ont été à notre place auparavant. Ils passent alors de « l'autre côté », tout en étant déjà conscient qu'un vieux ça coûte.

• Le vécu du vieillir chez le sujet

Le sujet qui avance dans le vieillissement se trouve, à mon sens, confronté à une crise, plus ou moins forte selon les contingences corporelles ou matérielles. Car il s'agit d'une étape de bouleversement dans l'économie psychique du sujet, étape qui arrive par « a-coup » sur le plan social, narcissique. Mais c'est une crise qui me semble encore difficile à entendre du point de vue subjectif de l'âgé :
– Peut être parce que les « vieux » actuels n'ont pas encore une « culture » de la parole ou de l'intérêt pour leur vécu psychique et où œuvre encore beaucoup de représentations autour de la détresse psychique et beaucoup de non-dit concernant des événements historiques (je pense à la guerre d'Algérie par exemple).
– Peut-être du fait même que la senescence biologique pourrait avoir un effet sur les contenants de pensée, sur la faculté même à contenir et à transformer les contenus psychiques.
– Peut-être parce que cette crise, ils sont les premiers à la traverser. La crise d'adolescence, ou la crise du milieu de vie, nous (soignants, écoutants...) pouvons en savoir, en avoir vécu quelque chose, alors que la crise du grand âge, nous est inconnue, peut être impensable. (là c'est l'imaginaire du vieux sage qui est convoqué, lui devrait avoir réglé tout cela et être exempt de toute angoisse).
– Et donc peut-être aussi parce que vieillir rapproche de l'impensable de la mort. Et que ce rapprochement fait jouer des angoisses que personne n'a vraiment envie de se coltiner.

Cela indique éventuellement que penser une crise de vieillir est globalement difficile à entendre pour l'environnement et qu'il manque d'étayage pour que cela puisse se conceptualiser et donc s'aborder : c’est donc plus coûteux car avec peu de représentations.

Et le sujet lui-même est au cœur de tout cela.
On peut se mettre d'accord sur le constat que les deuils dans l'entourage, les modifications corporelles, les modifications dans l'organisation familiale, les pertes de statut social, demande un coût psychique pour le sujet âgé.

Et je m'arrêterais un peu plus sur ce qui m'a été donné à voir dans la clinique, notamment s'exprime par l'intermédiaire de l'argent et des représentations associées à ce qu'il y a à payer.

Je travaille dans un service de psychiatrie de la personne âgée, il y a donc d'emblée un biais dans la rencontre, mais travaillant également dans un service d'adulte, j'ai été interpellée par la prévalence de ce type de plainte, de ce « commerce » financier.

Ainsi je pense à Mme Mi qui ne veut pas payer d'aide à domicile, elle veut bien d'un accompagnement, d'une présence mais cela elle ne veut pas le monnayer. En quoi est-elle aimable ?
Monsieur X qui compte et recompte, persuadé qu'il n'aura jamais assez, sans pouvoir cerner, nommer ce qu'il a à payer.
Madame H et sa véritable fuite d'eau dans son sous-sol qui a entraîné des mouvements d'anxiété majeure car alors si on perd de l'argent sans parfois s'en apercevoir comment pourra t'elle faire face à des coûts supplémentaires qui pourraient arriver.
Et encore Monsieur T qui, bien que conscient de nécessiter un accueil en structure d'hébergement, ne peut se résoudre à entamer des « économies de toute une vie.» Économies qu'il conservait pour plus tard, au cas où. Mais quand est-ce que cela commence ?
Ou encore les nombreuses expressions de persécution, de spoliation où les enfants (assez souvent) sont accusés de voler l'argent ou des biens précieux.

L'argent devient un rempart, un support majeur de projection qui donne forme à beaucoup de difficultés à vivre les remaniements spécifiques au grand âge. On entend à quel point, il peut venir régler ce qu'il en est de la temporalité humaine, qu'est ce que c'est que le « plus tard », comment on peut faire face, avec quelles ressources à la représentation de la dépendance ?

Les exemples que je cite sont ceux d'expressions pathologiques, projection sur l'objet « argent » d'une souffrance intrapsychique mais, comme nous l'avons évoqué à propos de la famille, pour le sujet âgé, les échanges financiers vont également être source d’une conflictualité un peu différente.
Le parent donne à l'enfant, don de vie, dette de vie. Mais dans ce grand âge, quand le retour est attendu (au moins par la société qui a légiféré dessus) dans quelle situation cela met le sujet ?

Les mêmes questions qui émergeaient à propos des enfants, pourraient également avoir lieu : Si le sujet « récupère » de ses enfants, la dette disparaît-elle, comment fonctionner ensuite avec les générations futures ? Cela boucle t'il quelque chose de cette transmission ? Ce bouclage deviendrait-il alors mortifère ? (Peut-on vivre sans dette, sans le désir de l'autre) Le prix à payer pourrait-il être la métaphore du désir de l'autre ? Le sujet se trouve t-il à prendre une place qui n'est pas la sienne dans l'imaginaire de la transmission filiale ?

Certains patients sont ainsi en train de négocier avec eux-mêmes la vente de la maison comment ne pas être à la charge des enfants. Et la remarque est fréquente qu'il ne faut pas être « une charge pour les enfants », qu'ils ont leur vie (comme si le parent n'était pas dans ce chemin de vie). Solder sa vie sur le plan comptable pour ne pas peser sur les générations futures… D’autant qu’étymologiquement payer signifie « pacifier ». Collusion entre l’objet argent et les modalités psychiques de la transmission, du rapport à l’autre (Autre?).

• Conclusion :

Le coût du vieillir nous a paru, pendant cette année de travail, assez exorbitant (certainement aussi par ce que nous ne nous sommes pas arrêtés sur les créations subjectives pour y trouver une solution).
Ce rapport au financier, à l'argent, même si l'on peut y entendre la dimension projective de conflits psychiques, nous paraît également un point important d'un « règlement » de différentes modalités dans la crise du vieillir.
Vieillir coûte pour beaucoup dans le règlement de l'approche de la mort (d'où la difficulté à y voir un investissement, ou à vouloir aller y regarder) mais cela nous a également apparu comme un remaniement complexe pour le sujet âgé dans ses organisateurs de l'ordre des générations, de l’économie même de ses échanges avec ses proches et de sa conception de la transmission et de sa demande d’amour.
Autant d'interrogations que nous n'avons pas suffisamment pu explorer pendant cette année de rencontre groupale, mais qui nous a permis d'entendre que le coût du vieillir était certainement au-delà de nos représentations antérieures, qu'il y avait là peut être des pistes cliniques qui restent à explorer.


- 1 Psychologue clinicienne, membre de l’ Association des psychologues en gérontologie du Poitou-Charente, membre auditrice de l’ EPCO.
Bibliographie :
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- J. Gaucher, G. Ribes, L. Ploton, Les vulnérabilisations en miroir professionnels/familles dans l’accompagnement des personnes âgées, Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratique de réseaux, De Boeck supérieur, 2003/2 n°31.
- Hovasse-Prely, Elisabeth, et Philippe Moulin. « Quand l'argent monte à la tête... Quelques aspects cliniques des problématiques financières en géronto-psychiatrie », Gérontologie et société, vol. vol. 29 / 117, no. 2, 2006, pp. 149-157.
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